Le chef de la commission américaine sur la liberté religieuse internationale a été prié d’enlever sa kippa lors d’une visite dans le royaume. L’incident illustre les difficultés de la mue que le prince héritier Mohammed ben Salmane impose à sa société. Alors qu’il promouvait un rapprochement avec Israël, la guerre à Gaza crispe à nouveau l’opinion publique.
“Une délégation américaine pour la liberté religieuse a interrompu son séjour en Arabie saoudite quand un de ses membres a été prié d’enlever sa kippa”, rapportait le site de la chaîne d’information américaine CNN mercredi 13 mars, après un incident intervenu deux jours plus tôt à Diriyah, près de Riyad, la capitale saoudienne.
La délégation de la commission américaine sur la liberté religieuse internationale (USCIRF) avait été “invitée par le gouvernement saoudien” à visiter le site, classé patrimoine mondial de l’humanité par l’Unesco et qui est surtout connu pour être le berceau de la famille royale saoudienne.
C’est là qu’un représentant du ministère des Affaires étrangères saoudien a demandé au président de la Commission, le rabbin Abraham Cooper, d’enlever sa kippa, expliquant que la loi saoudienne interdisait d’afficher des signes religieux non musulmans. Abraham Cooper a alors opposé un “refus poli mais résolu” à cette demande.
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Ils ne respectent rien. Alors qu’ils ne représentent rien. Tout est dans la provocation.
The Saudis are afraid to show that they welcome Jewish people with a kippah because that will encourage the Hamas to « take action » in Saudi Arabia. Arabs do not like the Hamas who are part of the trouble maker Moslem Brotherhood and refuse to have them settle in any Arab country.