En cause, selon l’instance européenne : le comportement inapproprié présumé des supporteurs belges, en marge du match perdu contre l’Angleterre (1-0), dimanche à Gelsenkirchen.
L’enquête porte plus précisément sur des « jets d’objets » et des « messages provocateurs n’ayant pas leur place dans le cadre d’un évènement sportif », a détaillé l’instance européenne dans un communiqué. « L’Instance de contrôle, d’éthique et de discipline de l’UEFA [CEDB] tranchera la question en temps utile », est-il précisé.
En attendant, les Fédérations serbe (FSS) et kosovare (FKK) de football ont déposé plainte l’une contre l’autre auprès de l’UEFA, pour la même affaire. La FFK, dont la sélection n’est pas présente à l’Euro, accuse les supporteurs serbes d’avoir déployé « des drapeaux » et entonné « des slogans et des chants porteurs de messages politiques chauvins et racistes contre le Kosovo ». « La propagation de tels messages racistes lors d’un évènement comme l’Euro 2024 est insensée et absurde », a fustigé l’instance du Kosovo, exigeant « des mesures disciplinaires strictes » contre la Fédération serbe, qualifiée de « récidiviste ».
De son côté, la FSS accuse un journaliste kosovar d’avoir fait un signe nationaliste albanais.
Edward Iordanescu a fait tourner les serviettes en salle de presse après le large succès de son équipe face à l’Ukraine (3-0), cet après-midi à Munich : « Cette génération montre une âme et a du cœur. C’est un grand jour pour la Roumanie et une victoire historique. »
Mais pas question non plus de faire la cheucheu synchro en attendant la rencontre contre la Belgique, samedi. « On doit rester les pieds sur terre, a lancé Iordanescu. On doit continuer notre chemin, concentrés. Ce match va être très compliqué contre une équipe qui peut remporter le titre. On fait un pas après l’autre. » C’est le meilleur moyen d’avancer.
Casteels, le gardien des voisins, vient de sauver le ballon du 2-0.
La mauvaise relance du gardien ukrainien a entraîné le premier des trois buts roumains de l’après-midi, une frappe superbe de Nicolae Stanciu. « Ma première erreur a changé le cours du match. Je me suis déjà excusé auprès de mon équipe », a expliqué Lunin, auteur d’une excellente saison avec le Real Madrid en l’absence de Thibaut Courtois. Lunin n’est pas non plus très clair sur le deuxième but inscrit par Razvan Marin, dont le tir lui est passé sous l’avant-bras droit.
« Il y a plusieurs composantes, a affirmé le sélectionneur Serhiy Rebrov après cette défaite nette (3-0). Nous avions la possession de balle, mais nous n’avons pas réussi à nous créer des occasions. Personne ne s’attendait à un tel résultat. Tous se sont excusés auprès de nos supporteurs, ils ont remarqué que c’était insuffisant. »
L’Ukraine affronte la Slovaquie vendredi à Düsseldorf, avec l’obligation de l’emporter si elle veut conserver une chance d’aller plus loin dans le tournoi.
Schranz punit la défense belge (et Doku, fautif sur le coup) et ouvre la marque dès la 8e minute ! Les Diables Rouges s’étaient procurés deux grosses occasions auparavant.
Koen Casteels, le portier du Werder Brême qui va rejoindre Al-Qadsiah, en Arabie saoudite, a une énorme pression.
Et donc, Yannick Carrasco joue toujours.
Cette fois avec des baguettes de pain, évidemment. ON PEUT PAS LAISSER PASSER CA LES GARS.
(parce que oui, on sait que vous aimez ça)
C’est à suivre en live par ici avec le collègue Jérémy. Je compte sur vous pour revenir me voir de temps en temps quand même hein.
Interrogé tout à l’heure en conférence de presse, le gardien de l’Athletic Bilbao a estimé que les joueurs « devraient laisser la politique aux autres ».
> « Kylian est un joueur qui a beaucoup d’influence dans le monde et dans la société. Les joueurs en général, nous avons beaucoup d’influence. Mais c’est un sujet politique, et je crois que nous avons la tendance à parler de certains sujets dont je ne sais pas si on devrait parler. »
> « Moi, je suis un joueur de football, et je pense que c’est la seule chose dont je devrais parler et laisser les sujets politiques aux autres. »
Après Oliver Bierhoff en finale de l’Euro 1996, voici la deuxième, toujours tirée de ce championnat d’Europe en Angleterre. Cette fois on vous parle de l’immense « Gazza », Paul Gascoigne.
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