L’occupation israélienne poursuit ses massacres de civils à Gaza pour le 192ème jour consécutif, avec 43 martyrs et 62 blessés au cours des dernières 24 heures.
Plusieurs victimes se trouvent toujours sous les décombres et sur les routes, inaccessibles aux équipes d’ambulance et de protection civile.
Sept Palestiniens, dont des enfants, ont été tués lors d’une frappe aérienne israélienne visant la tour Harazalllah du camp de réfugiés d’Al-Nusairat, dans le centre de la bande de Gaza.
Les frappes de l’occupation israélienne sur le camp de réfugiés de Nusairat à Gaza ont principalement blessé des enfants, les forces israéliennes ciblant intentionnellement les zones résidentielles de la bande depuis le début de la guerre.
Au moins cinq Palestiniens auraient été tués et de nombreux autres blessés dans les bombardements israéliens visant les Palestiniens qui tentaient de regagner leurs foyers dans le nord de Gaza.
Attaques répétées de l’occupation israélienne dans des zones qu’elle prétendait avoir nettoyées et sécurisées, où les membres du Hamas auraient été « éliminés ». Cela a amené les habitants du nord de Gaza à croire qu’il était possible de rentrer chez eux en toute sécurité, mais ils se sont retrouvés confrontés au danger et à la mort dans leurs quartiers.
Le bilan des victimes de l’agression israélienne s’élevait samedi matin à 33 729 morts et 76 371 blessés depuis le 7 octobre dernier.
Trois enfants ont été grièvement blessés samedi, s’étant noyés alors qu’ils tentaient d’atteindre l’aide larguée par avion au-dessus de la mer Méditerranée au large de Khan Yunis.
Des corps de Palestiniens ont par ailleurs été retrouvés sous des barrières de sable érigées par les bulldozers de l’occupation israélienne suite à l’invasion de la zone du projet Beit Lahia, dans le nord de la bande de Gaza.
RÉSISTANCE
Après plusieurs mois d’interruption due au siège israélien paralysant, une boulangeries du nord de Gaza a repris ses activités malgré le danger et les immenses défis posés par les restrictions israéliennes sur l’entrée de carburant et de produits de première nécessité dans la région.
Un Palestinien résilient continue d’utiliser sa voiture, bien qu’elle ait été lourdement endommagée par les attaques de l’occupation israélienne à Khan Younès après leur retrait de la zone.
CAPJPO-Europalestine
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