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Robert Evans (1930-2019)

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Biographie

Robert Evans (1930-2019) était un producteur de cinéma et acteur américain. Né à New York, il a commencé sa carrière d’acteur à l’âge de 19 ans. Il a rapidement attiré l’attention des studios de cinéma et a signé un contrat avec la Paramount Pictures en 1956.

Evans est devenu producteur chez Paramount en 1966, et a immédiatement commencé à produire des films acclamés par la critique et le public, notamment « Rosemary’s Baby » (1968), « Love Story » (1970) et « The Godfather » (1972). Il est également connu pour son rôle dans le sauvetage de « Chinatown » (1974), qui a été menacé par des problèmes de financement.

Au cours des années 1970, Evans était considéré comme l’un des producteurs les plus influents d’Hollywood. Cependant, sa carrière a connu un déclin dans les années 1980 en raison de problèmes de drogue et d’autres problèmes personnels.

Dans les années 1990 et 2000, Evans a continué à produire des films, notamment « The Saint » (1997) et « How to Lose a Guy in 10 Days » (2003). Il a également écrit deux livres, « The Kid Stays in the Picture » (1984) et « The Fat Lady Sang » (1992), qui décrivent sa vie et sa carrière à Hollywood.

Evans est décédé en octobre 2019 à l’âge de 89 ans. Il a été salué comme l’un des producteurs les plus innovants et influents de l’histoire d’Hollywood, ayant produit certains des films les plus mémorables du cinéma américain.

JUDAÏSME

Robert Evans était juif de naissance et sa famille était d’origine juive roumaine. Bien qu’il ne soit pas toujours connu pour son identité juive, elle a cependant joué un rôle important dans sa vie.

Evans a fait des efforts pour explorer et comprendre sa propre identité juive tout au long de sa vie. Dans une interview accordée en 1994, il a déclaré : « Je suis fier d’être juif. C’est une partie de ma culture. J’aime tout ce que cela représente ».

Il a également produit plusieurs films qui traitent de l’expérience juive, notamment « The Chosen » (1981), une adaptation cinématographique du roman éponyme de Chaim Potok, qui raconte l’histoire d’un jeune juif hassidique de Brooklyn qui s’éloigne progressivement de sa communauté, et « The Cotton Club » (1984), qui suit l’histoire d’un club de jazz de Harlem dans les années 1930 qui était ouvert aux Noirs et aux Blancs, mais pas aux Juifs.

En 1996, Evans a été honoré par la Fondation nationale pour la culture juive américaine pour sa contribution à l’art et à la culture juive. En recevant cette distinction, il a déclaré : « Je suis très fier d’être un Américain juif. J’ai passé une grande partie de ma vie à essayer de comprendre ce que cela signifie, et je suis encore en train de le découvrir ».

En somme, bien que l’identité juive de Robert Evans ne soit pas toujours mise en avant, elle a néanmoins joué un rôle important dans sa vie et dans certaines de ses productions cinématographiques.

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