Yarden Bibas: des cameramen palestiniens filmant l’enlèvement

Des cameramen palestiniens exposés dans de nouvelles images documentant les atrocités du 7 octobre aux côtés des terroristes

Des images poignantes diffusées par les médias israéliens le mercredi 17 avril montrent des cameramen palestiniens filmant l’enlèvement violent de Yarden Bibas à Gaza le 7 octobre.

Bien que leur identité reste floue, leur présence au milieu d’une foule de terroristes assoiffés de sang prouve une vérité troublante : les journalistes basés à Gaza qui couvraient les atrocités du Hamas ce jour-là n’ont pas courageusement risqué leur vie, comme l’ont déclaré les institutions qui leur ont récemment décerné des prix, mais ont agi facilement. sans aucune objection de la part des auteurs.

“Innocent Palestinian civilians” brutally kidnapping Yarden Bibas on October 7 👇
https://t.co/Tf1KWFO1gH

— Dr. Eli David (@DrEliDavid) April 17, 2024

Dans la vidéo, on peut voir une caméra professionnelle survolant une foule palestinienne alors que son opérateur tente nonchalamment de se concentrer sur Yarden Bibas terrifié, qui est fermement retenu sur une moto au milieu de la scène chaotique.

Yarden Bibas, 34 ans – dont la femme Shiri et ses deux jeunes fils Ariel et Kfir ont été enlevés lors d’un autre incident – ​​est vu entouré par des hommes armés, ensanglanté, battu, maltraité et crié dessus.

Mais le caméraman, ainsi que ceux qui filment les séquences vidéo et d’autres personnes qui brandissent leur téléphone, ne se soucient que de capturer la souffrance de Bibas, probablement dans le but de vendre les images aux médias locaux et internationaux.

As Yarden Bibas was kidnapped by a mob of Gazan terrorists, Palestinian photojournalists and cameramen working for foreign press agencies took footage and photos at the scene.

This is what the mainstream media considered to be « bravely risking their lives. » https://t.co/VkTk0SqcOs pic.twitter.com/22Zg06qgOs

— HonestReporting (@HonestReporting) April 17, 2024

Le fait qu’ils aient pu opérer librement au milieu de la barbarie suggère qu’ils étaient là avec, à tout le moins, l’approbation tacite de la foule. En fait, inclure des journalistes dans la force d’invasion a toujours fait partie du plan du Hamas.

Les journalistes basés à Gaza n’étaient pas là seulement pour documenter, mais pour exploiter.

HonestReporting a révélé ce lien en novembre 2023, révélant que des photojournalistes basés à Gaza s’étaient infiltrés en Israël avec le Hamas le 7 octobre.

Par la suite, CNN et AP ont rompu leurs liens avec l’un d’entre eux – Hassan Eslaiah – qui avait été photographié avec nul autre que le chef du Hamas Yahya Sinwar.

Mais en général, les médias n’ont pas reconnu ces violations éthiques. Non seulement ils proposent toujours à la vente des photos montrant le lynchage d’un soldat israélien ou les enlèvements de civils à Gaza. Ils les mettent en valeur dans leurs galeries sélectives d’images de guerre et remportent avec eux des prix prestigieux.

Ce n’est pas du journalisme.

Comme l’a révélé le mois dernier le magazine d’information israélien Uvda, sur la Douzième chaîne, la documentation et la diffusion des atrocités du 7 octobre faisaient partie du plan vicieux du Hamas.

Et comme l’a récemment admis un porte-parole du Jihad islamique , les journalistes des médias internationaux à Gaza dansent volontiers sur la musique du Hamas.

Lecture connexe : Menteurs et marionnettes : les médias ignorent la révélation de la façon dont les groupes terroristes manipulent l’actualité de Gaza

Donc, si l’on met deux et deux ensemble, il est clair que la vidéo montrant des professionnels des médias filmant l’enlèvement de Bibas ne montre qu’un exemple parmi tant d’autres.

Alors que le Hamas massacrait plus de 1 200 personnes en Israël et en kidnappait 250 autres, les journalistes basés à Gaza étaient là pour documenter.

D’autres ont célébré le massacre sur les réseaux sociaux, comme Motaz Azaiza, qui – cette semaine encore – a été déclaré sans vergogne l’une des personnalités les plus influentes de 2024 par le magazine TIME.

It is stunningly irresponsible for @Time to allow Motaz Azaiza to rewrite history and to declare him one of the most influential people of 2024. On October 7, he celebrated the start of the war he’s now « raising awareness » for the world to stop. https://t.co/e1uKX8lqHu https://t.co/0cQmAvlV8I

— HonestReporting (@HonestReporting) April 17, 2024

Mais tout profit ou toute reconnaissance acquis par ces « journalistes » ou leurs organisations est entaché.

Cela a été réalisé grâce à l’approbation passive ou active du Hamas, sur le dos de personnes innocentes comme Yarden Bibas.

JForum.fr avec HonestReporting

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